Vous savez, l'arbre dont je vous parle souvent, et que je photographie régulièrement ? Et bien je ne suis pas le seul à m'y interesser ! Le 31 Juillet avait lieu une exposition photographique, à laquelle j'ai participé, et dont le noyer était le sujet principal. Cette expo a eu lieu dans l'église de Paroy, tout près de Jutigny et j'ai pu y admirer les photos d'autres passionnés de photo et amis de cet arbre !
Je fais relativement peu d'images en ce moment, mais toujours amateur de photos stéréoscopiques, en voici une prise à la sauvette sur une certaine plage normande... Malheureusement, le traitement de l'image par blogspot a quelque peu diminué la qualité de la 3D, mais elle reste lisible. J'ai aussi mis une série de photos stétéo sur un site flickr dont voici l'adresse :
Voici trois images la cathédrale de Bayeux. Elles ont nécessité le trépied, et ont été travaillées en technique HDR, c'est à dire à partir de plusieurs photos. Je suis surtout satisfait de celles de la crypte parcequ'à la base on n'avait que très peu de lumière.
Ce chien qui voyage seul sur le muret de pierre le long d'une plage n'a pas gagné le concours ... Non, il est trop mignon. Pour être déclaré gagnant, il fallait que l'animal soit le plus moche et le plus ridicule possible. Durant notre dernier séjour en Normandie, nous avons croisé de nombreux prétendants. Pensez donc : la côte normande regorge de chiens-chiens à sa mémère ! Rien que la petite partie de Cabourg à Honfleur, en passant par Deauville, Trouville, quel assortiment, quelle collection à faire pâlir le plus aguerri des taxidermistes! Hélàs le vrai vainqueur, le champion toute catégorie n'a pas été photographié. Mais il a été le point de départ du concours, celui qui, tellement hors toutes catégories, a donné l'idée. Tiens, si on l'avait connu, on aurait donné son nom à l'épreuve ! Tout miteux, dépoilé sur sa façade ouest, celle exposée au vent. (ça n'existe pas "dépoilé" ? pas grave, à partir de maintenant, si : la bestiole méritait bien qu'on invente un mot pour la décrire...) Sans doute tout frais sorti d'un magasin de farces et attrappes, il gambadait au pied de sa maîtresse, qui elle, avait dû connaître Marcel Proust enfant... Parmi beaucoup d'autres concurrents photographiés à l'insu de leurs maîtres, c'est mon ami Laurent qui a pris la meilleure image du numéro deux, médaille d'argent, une rareté dans son genre, pris sur le fait au moment de lever la patte...
Suite à la journée pastel du 18 Avril, voici l'esquisse que j'ai fait du modèle que nous avions. Le pastel est terminé, mais il vous faudra patienter un peu pour le voir sur mon site, parceque j'ai dû formater l'ordi, et je n'ai pas encore tout réinstallé pour publier mes pages sur le net.
Voici ma toute dernière esquisse. En fait le pastel, au format 30*25, est terminé mais pas encore sur le site. Il vous faudra patienter un petit peu pour le voir ...
Instant charnière de la création d'un tableau, et plus particulièrement d'un portrait, où une esquisse est terminée. Maintenant, faire une petite pause café, prendre une photo pour garder une trace de cette esquisse qui va disparaître sous la couche de pastel, puis se lancer dans la couleur. C'est toujours avec un peu d'appréhension que j'aborde cette étape qui consiste en fin de compte à recouvrir un travail dont j'étais pourtant satisfait...
Muni du trépied, je me suis rendu à Grandpuits pour une séance de photo tardive, juste à la fin du jour. J'ai d'abord rangé la voiture auprès de la pompe à essence sur la route entre Nangis et Mormant, et j'ai pris quelques photos, afin de réaliser le panorama que je vous présente aujourd'hui (quatre images, priorité ouverture, f8, temps de pose 3 à 5 secondes). Puis une fois la nuit tombée, j'ai contourné la raffinerie par la route, tout en tâchant de repérer les angles de vue les plus intéressants de ce site industriel, un assemblage hétéroclite de tuyaux métalliques, d'échelles, de taches de lumières, de feu, et de hautes cheminées crachant des fumées grasses et malodorantes. Malgré son côté polluant, ce lieu exerce sur moi une indéniable attirance, par ses lumières, et son aspect graphique. Nul doute que j'y retournerai pour de nouvelles images...
Nous nous sommes groupés à trois amis, trois pastellistes, Patrice, Sylvie et moi-même pour ce nouvel accrochage. C'est la très jolie salle des mariages du village de Champdeuil qui nous accueille durant un mois à l'occasion de cette expostion. Petit clin d'oeil, par le plus grand des hasards, mon portrait de clown, qui n'est autre qu'un autoportrait, va donc ainsi trôner tout à côté du buste de Marianne... Ce matin, l'installation à peine terminée, les premiers visiteurs arrivaient déjà... 
Par un matin froid, le ciel un peu brumeux mais bien dégagé et la lune toujours visible, à peine au dessus de l'horizon; clic-clac c'est dans la boîte !
Tout petit déjà je m'étais inventé un appareil photo virtuel, un simple bout de bois. Je visais, j'appuyais sur mon bout de bois, et puis la photo apparaissait, comme ça, dans l'imagination de l'enfant que j'étais. Assis à l'arrière de la 2CV de mon grand-père, j'ai ainsi photographié des tas de vaches, des champs, des fleurs, des voitures et me suis constitué une vraie collection d'images, que personne ne verra jamais...
Fin d'après-midi sur la zone industrielle de Vaux. La lumière baisse, le ciel est lourd. Un double arc-en-ciel apparaît au dessus des immeubles, entièrement visible d'un bout à l'autre, et un rai de soleil vient dorer les grues et le haut des bâtiments. L'appareil photo toujours à portée de main, je clique à droite, je clique à gauche... Après traitement dans un logiciel de retouche, je vous présente ici les vues depuis la fenêtre du bureau, un soir de février, aux environs de 18h30...
Comme c'est régulièrement le cas, une journée entièrement consacrée à la peinture - et plus particulièrement au pastel - a eu lieu à Jutigny, organisée par l'association "Les Arts Pour Tous" (voir le blog de l'assoc ci-contre). Nous nous sommes donc réunis autour d'une composition proposée par le maître des lieux, j'ai nommé Patrice, qui donne ses cours à l'association. Cette journée est l'occasion pour chacun de se ménager un moment de répit, mais aussi de travail intense. Créer un tableau est toujours un voyage intérieur. Cela peut pousser à un état de concentration, à une reflexion sur soi-même, le résultat final en devenant parfois secondaire. Bref, à la fin de la journée, tout le monde est sur les genoux, et repart avec son oeuvre. Vous pouvez voir l'état d'avancement de la mienne, qui necessite encore quelques heures de travail... Bien entendu, une fois terminée, elle sera ajoutée à mon site.
